Laissez moi tranquille. Je n'ai rien fait de mal.

Damian Isaac Anderson

Carte d'identité

Hello toi ! Moi, c'est Damian Isaac Anderson mais tu peux aussi m'appeler Dam's. J'ai 15 ans et je suis né le 9 mars 1998 à Philadelphie. Mais j'ai réellement 1220 ans et je suis né l'équivalent du 9 mars 793 dans le lieu que vous appelez aujourd'hui Ottawa. Je suis veuf à plusieurs reprise et j'ai une préférence pour les Garçons. Je fais des études d'arts martiaux et du mannequinat comme métier/études. Mon groupe est créature surnaturelles, mais je suis surtout un vampire. Je suis donc Vampire. On dit que je ressemble comme deux gouttes d'eau à Booboo Stewart.

Et toi derrière ton écran !

Alors bon on me surnomme Shaka mais mon vrai nom c'est Flavien. Je suis bien trop âgé pour vous donner mon âge alors essayez de deviner. Sinon bah j'ai toujours dit que Code validé par Morgie. Après le code je crois que c'est tous pour un et un pour tous non ?

Codage by sybline

Voici son histoire !

CARACTÈRE :

Damian est une personne très calme. Ses quelques siècles de vie lui ont apprit l'importance de ne pas se laisser emporter par ses émotions. Il domine donc sa rage et sa rancœur. Et dieu seul sait qu'il en a beaucoup. La race humaine le dégoûte au plus haut point. Il a vu la décadence de cette dernière, son goût pour le sang et les batailles, tous cela pour dominer l'autre. Il en ai donc venu a se demander si les humains n'étaient pas une sorte de virus pour cette planète.

Car non content d'envahir des territoires d'autres peuples au nom d'une soi-disant liberté, il se permettent de détruire le joyaux du système solaire. Ils ne font même pas attention aux bienfaits qu'apportent la nature. Damian n'est pas un écologiste mais il ne comprend pas ce goût qu'ont les humains pour la destruction.

Il en ai donc arrivé à mener sa propre politique d'extinction des espèces. Il punit les humains les plus dangereux et ravage les avoirs des entreprises qui véroles la nature. Pour cela il utilise une intelligence millénaire et sa puissance vampirique.

Mais il n'en ai pas moins compatissant. Il ne tue pas pour le plaisir. Il déteste même ça. Mais quand cela est utile il n'hésite pas. Par contre ce n'est pas un sauvage ou un sadique. Il ne joue pas avec sa proie, sauf si cette dernière est particulièrement violente ou médisante. Il lui laisse alors entrevoir une chance avant de fermer toutes les portes et de regarder la peur et la pitié s'instiller dans les yeux de sa victime. Car oui l'humain est quelqu'un de peureux. Rares sont ceux qui n'ont pas tenté de le supplier durant tous ces siècles. Mais il offre une mort rapide et sans douleur.

Cependant il sais reconnaître quelqu'un de sage et empathique. C'est pourquoi il donne la morsure à toutes les personnes qu'il juge digne. Mais si elles prouvent le contraire alors il les détruits et ce sans la moindre pitié. Sa loi doit être respectée. Ont ne mort que ceux qui représente un danger. Telle est la loi que tous doivent respecter sinon c'est la mort assurée.

En dehors de ça, Damian est un garçon plutôt sympathique qui tisse des liens avec les gens qu'il juge dignes de confiance. Le trahir est aussi une erreur à ne commettre. Sinon son courroux peut être plus terrible encore. C'est un garçon sage et respectueux, rigolo bien qu'un peu refermé sur lui-même. Il adore la musique classique et joue merveilleusement bien du violon et du piano. Il a même fait des études à Juilliard dans les années 1960. Il trouvait cette école fantastique, d'un calme et d'une sérénité quasiment parfaite. Il a d'ailleurs transformé trois d'étudiants à l'époque. Étudiants qui forment aujourd'hui sa garde rapprochée.

Dans les années 2000, lui et ses trois gardes se sont inscrits dans les meilleurs écoles d'arts martiaux, apprenant ainsi une autre façon de se calmer et de combattre. Très vite ils devinrent les meilleurs. Le force, leur vitesse, tout en eux leur permettait de vaincre. Mais la sérénité des arts martiaux leur plaisait. C'était juste ça qui les attiraient et non la possibilité de gagner des tournois.

PHYSIQUE :

Damian a eu la chance d'être mordu dans son adolescence. Plus précisément à l'âge de 15 ans, alors que son corps était quasiment à l'apogée de sont développement. En effet, dans le peuple dont il est issu tu devient un homme vers 13 ans. Les épreuves sont alors très sélectives. Par sélective nous entendons bien sur que ceux qui échouent meure.

Il a donc un corps d'athlète. Musclé, élancé, puissant malgré une petite taille par rapport au standard de son peuple. En effet là où les autres mesuraient entre un mètre quatre-vingt et un mètre quatre-vingt-dix, parfois deux mètres pour les plus grands, il ne mesure qu'un mètre soixante-dix. Mais ça ne l'a pas empêché de revenir la tête haute des épreuves.

Ce garçon au physique charmeur, les cheveux noir ébène coupés courts, les yeux noirs brillant, un sourire à tomber par terre, n'en ai pas moins très simple. Il s'habille de chemises et de pantalon que lui offre son sponsor et la société pour laquelle il est mannequin. Il ne fait jamais dans l'extravagant cependant. Les choses vulgaires ne lui siéent guère.

HISTOIRE

Je ne vais pas vous compter mille deux cent vingt ans d’histoire. Déjà parce que se serait trop long et aussi pour ne pas vous ennuyer. Préparez vous donc à quelques ellipse temporelles. Je ne m’arrêterais que sur les moments marquants de ma vie. Et le premier est :

AN 793 – AN 808

Je suis né dans la famille du chef de la tribu. Alors autant vous dire que j’ai reçu une éducation stricte et guerrière. Même ma mère, la femme du chef avait un rôle central dans la vie de la tribu et par conséquent m’élevait strictement dans la digne lignée des esprits guerriers de notre famille. En effet, quand les hommes partaient en guerre, c’est elle qui devait mener la tribu en tenant compte des avis avisés de nos anciens.

J’ai donc grandi entouré de superstition, de culture et de respect de la vie et de la planète. Il ne fallait pas contrarier les esprits ou alors il fallait que nous les apaisions ensuite. J’ai donc appris à respecter, honorer, protéger et calmer ces puissants dieux que nous vénérions alors. Mon père m’instruisait de façon guerrière et ma mère de façon spirituelle. Mes ces deux apprentissages étaient sans aucun doute tous les deux très difficiles et astreignants.

A l’âge de trois ans je savais manier la fronde et le boomerang, à cinq l’arc et le javelot et à sept la lance et l’épée. J’étais même excellent. Et je n’avais pas le choix. Je devais faire face aux autres enfants et réussir. Je représentais la force et l’honneur de ma famille. Je devais avoir l’âme d’un chef. Je devais guider les autres.

Je me préparais donc dignement à l’épreuve qui ferait de moi un homme. Mais un problème se profilait. Visiblement j’étais plus petit que mes congénères d’au moins une tête. Alors je devais travailler encore plus car la taille représentait aussi la grandeur et la puissance. Je devais donc m’affirmer et faire oublier aux autres mon handicap. Ce que je faisais merveilleusement. Je travaillais deux fois plus que tous les autres. Je travaillais ma vitesse, ma force de frappe, ma visée des points essentiels. Je devenais plus un guerrier avisé et stratège qu’un guerrier puissant.

Mon père n’aimait pas vraiment ça. Je devais donc absolument passer l’épreuve pour devenir un homme haut la main. Je me devais de faire honneur à son enseignement et montrer à tous que j’avais l’âme digne d’incarner l’esprit de notre tribu. Le jour J arriva et j’étais prêt. Cependant une grande appréhension et une tension énorme encadré cette cérémonie rituelle qui allait durer trois jours. Un prédateur visiblement encore plus puissant que tous les autres avait fait son apparition dans la région. On le disait encore plus fort qu’un ours et qu’il avait déjà tué pas mal de guerriers de notre tribu.

Cependant je ne me faisais pas trop de soucis. Je pensais surtout à la stratégie à adopter pour traquer, chasser, tuer, dépecer et ramener la peau d’un grizzly en trois jours seulement. Mais je partais confiant avec un arc, un couteau, mon boomerang et une lance et ma fronde.

Je savais comment chasser la bête. Il y avait deux solutions. Soit l’obliger à nous rencontrer sur un autre territoire que le sien ou alors la combattre chez elle. Je préférais la seconde solution pour la simple et bonne raison que si jamais elle sortait de son territoire elle serait bien plus prudente et qu’il serait difficile de la mener dans un traquenard. Alors que chez elle, elle serait un peu plus confiante et qu’il serait encore plus simple de la pousser à l’erreur.
AN 808 – Le changement

Je prenais donc la traque de la bête. Il fallait absolument que je la trouve avant demain midi. Sinon il serait dur pour moi de pouvoir retourner au camp avant la fin du temps imparti. Je mettais donc tous mes sens en éveil. Le moindre bruit, la moindre odeur, un coup de vent entrecoupé. Tout pouvait me signaler la présence de ma proie. Il fallait donc que je sois attentif.

Je traquais depuis environ huit heures quand je trouvais enfin ma cible. Mais je ne la chasserais pas la nuit. J’étais sur son territoire c’était sur. Les marques sur les arbres, les poissons morts sur la berge, de petits arbres pliés. Tout ici indiqué la présence de ma cible. Je montais donc à un arbre pour la nuit après avoir mangé un lapin chassé un peu plus tôt dans la journée. Je m’attachais solidement à une branche, pour ne pas tomber, avec une liane que j’avais tressée moi-même.

Le lendemain matin, à l’aube, je reprenais ma surveillance. C’est vers neuf heures du matin que je débusquais enfin ma proie en train de pêcher. Il fallait que je fasse attention. Je devais absolument passer invisible. Je me mettais donc face au vent afin qu’il ne puisse pas me sentir. Il fallait que je l’affaiblisse avant de me montrer. J’avais deux solutions. Soit viser ses pattes avec mon arc, soit l’assommer à coup de pierre avec ma fronde. La première solution était la plus viable mais il fallait d’abord que je le force à se lever. Je sortais donc ma fronde et tirais une première pierre qui atterrie un peu plus loin dans l’eau à l’opposer de moi. Mon coup avait marché. Il se leva et se dirigea vers la source du bruit de toute sa hauteur afin d’impressionner un quelconque animal qui voudrait s’en prendre à lui.

Je me levais donc en silence et bandais mon arc tirant une première flèche qui se ficha dans son flanc. L’animal se retourna et me remarqua. Je tirais vite une seconde flèche qui manqua sa cible. Le grizzly retomba lourdement sur ses quatre pattes et commença à courir vers moi. Je faisais volte-face et courrais vers un endroit plein de rochers que j’avais repéré à mon arrivée. Il fallait que j’ai un maximum de cachettes pour l’esquiver et le combattre à la lance.

J’esquivais d’ailleurs une première fois de justesse sa mâchoire qui faillit se refermer sur mes jambes. Je sautais derrière un premier rocher et sortais vite par l’autre coté pour lui planter ma lance à l’arrière de la cuisse. Il se retourna plus rapidement que prévue et une première entaille apparue sur mon épaule. Heureusement j’avais eu le reflexe de reculer et au lieu de toucher mon torse, il avait effleuré mon épaule. Je devais le ralentir avant de tenter quoi que se soit. Je passais donc de nouveau mon rocher attendant qu’il fasse le tour. Je scrutais de quel coté il allait apparaître. Mais à ma grande surprise sa gueule se referma sur mon épaule par-dessus le rocher. Il avait escaladé pour m’attraper. Ce qui est rare.

Je hurlais de douleur mais je sortais mon couteau de ma main valide et le plantais directement dans son œil. Il me lâcha et je tombais lourdement sur le sol. Par reflexe, je roulais et plantais mon couteau dans sa gorge. J’avais gagné mais j’étais très mal en point. Mon épaule était broyée. Du sang coulait abondamment de ma blessure et la patte qu’il avait abattu sur moi dans un dernier soupir avait déchiré mon dos. Je n’avais pas très longtemps à vivre. Mais une créature s’avança vers moi et porta sa main à ma gorge. Elle lécha mon sang avant de me plaquer contre un arbre. Je sentis sa bouche se refermer sur ma gorge et ses crocs perforer ma chair. J’allais mourir. Mais pas comme ça. En guerrier. Je tentais de repousser la bête mais sa force surpassait la mienne. Ma main se referma sur une branche que je cassais vivement et plantais dans le torse de mon agresseur. Je sentis son sang se mêler au mien alors que ses crocs se retiraient en arrachant un morceau de ma gorge.

Je mourrais quelques instants plus tard le corps vidé de son sang. Enfin c’est ce que je croyais car je me réveillais quelques heures plus tard, la nuit bien avancée. Prêt de moi le corps d’un homme. Sans doute celui qui m’avait agressé. Je devais lui rendre les hommages. Je brûlais son corps en priant les esprits. J’étais loin de me douter de ce qu’il avait fait de moi. Je remerciais aussi les esprits de m’avoir rendu ma vitalité et d’avoir soigné mes blessures. Puis je dépeçais ma proie et la ramenais au village.

Sur les vingt garçons entrés, seuls trois revinrent. Nous retrouvions nos frères quelques semaines plus tard vidés de leur sang.

AN 808 – 2013

J’apprenais à utiliser mes pouvoirs. Pour les membres de ma tribu, j’étais devenu un être différent. Ils me vénérèrent comme un esprit. J’avais arrêté de vieillir, j’étais plus fort, plus rapide. Et l’offrande de sang que j’exigeais chaque jour leur semblait un moindre mal face à la protection que je leur apportais. Notre tribu devint la plus puissante. Personne ne nous défié. Les seuls à le faire devenaient mon garde mangé.

Puis les siècles passèrent. Je m’adaptais à toutes les nouveautés. La colonisation, la Renaissance, la naissance de l’Amérique libre, la fin de l’esclavage. Toutes ces époques je les survolais en me faisant tantôt Dandy, tantôt dieu d’un peuple. Mais pour moi l’époque la plus marquante fût le vingtième siècle. C’est là que je découvris le virus que représentais la race humaine. La gangrène de cette planète, de la culture et de la beauté. Toute cette évolution pour en arrivé à polluer, détruire aussi bien culture que vie et massacrer ce joyau stellaire que nous habitons. C’est aussi là que je transformais pour la première fois des gens. Du moins ceux que j’estimais digne d’intérêts. Je me fixais un but. Purifier ce monde de son virus.

Et c’est en 1945 que je faisais la connaissance de Silas. Un vampire avec qui je devins ami. A nous deux, nous mettions en déroute l’attaque allemande sur l’URSS, nous ravagions le centre de commande nazi et tuons Hitler. Nous vivons ensembles quelques année et mettons fin à la guerre froide en faisant fondre les avoirs russe et en offrant une victoire économique aux USA. Et enfin nous abattions le mur de Berlin. Bref quelques années bien remplies.

Puis nous nous séparons. Je retourne aux USA et entre comme prodige à l’école Juilliard que j’ai aidé à fonder en 1905. J’admire son évolution et l’apprentissage de la musique qui y est fait. C’est aussi là que je dégotte trois fabuleux prodiges qui finissent par percer mon secret à jour. Leur intelligence me surprendra toujours. Ils me demandent de les transformer ce que j’accepte à condition qu’ils suivent mes règles. Ils acceptent et je leur offre ce don. Depuis il me voue une loyauté sans borne. Leurs nom son Mickaël, James et Lucas.

Afin de ne pas éveiller les soupçons sur notre éternelle jeunesse (15 ans pour moi et 17 pour mes protecteurs), nous passons nos diplômes et partons faire notre vie. En 2005, je suis approché par un mec dans la rue qui me propose un travail de mannequin à mes amis et moi. Ce que nous acceptons. Nous devenons alors les égéries de grands créateurs. Pour moi ce sera Calvin Klein. Nous intégrons aussi une école réputée d’arts martiaux. Nous devenons vite les meilleurs mais ne participons jamais aux tournois. Il ne faut pas éveiller les soupçons, d’autant plus que ces derniers temps, les chasseurs sont de plus en plus nombreux.

En 2012 je prends le nom de Damian Isaac Anderson afin de ne pas avoir de problème. Et mes amis aussi changent leur nom de famille.

En 2013 nous entendons parler d’un problème à Beacon Hill. Visiblement des corps auraient été retrouvés vidés de leur sang. Mes trois amis et moi nous dirigeons donc vers cette petite ville de Californie. C’est là que nous retrouvons Silas, mon vieil ami et une race que je n’avais pas vu depuis des siècles : les loups-garous.

Codage by sybline

Bienvenu et bonne chance pour ta fiche ^^

N'oublie pas de venir nous prévenir ICI lorsque tu auras fini ta fiche ^^

J'ai rien à dire à aprt que j'adore ton histoire ^^ j'ai du lire en deux parties

CONGRATULATION !

Félicitation ! Te voilà désormais validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à rp, te créer des liens, tenir un journal et pleines de bonnes choses ^^ !

N'oublie pas d'aller faire recenser ton avatar !

Laissez moi tranquille. Je n'ai rien fait de mal.

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